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Cinéma The Revenant et Ave Cesar

Publié le par Litterator

De la neige encore de la neige
De la neige encore de la neige

The Revenant

( Leonardo DiCaprio, Tom Hardy et quelques autres)un film de Alejandro González Iñárritu,

Voilà donc ce fameux film enfin sur nos écrans. Vous avez sans doute remarqué ( tout a été fait pour ça) le battage médiatique qui a précédé la sortie. On nous a dit que ce fut le tournage le plus difficile que ce pauvre Léo a subi depuis qu’il s’est noyé avec le Titanic. Je veux bien le croire. On est même allé jusqu’à nous faire savoir que pour plus de véracité, il s’était imposé de manger du foie de bison cru. Était-ce bien la peine d’insister sur ce point, la scène dure 35 secondes et un morceau de n’importe quoi avec du sang bien dégoulinant aurait fait l’affaire. Il dort aussi tout nu dans le ventre d’un cheval (mort bien sûr) pour se protéger du froid, comme les armées Napoléoniennes à la bataille de Russie. A ce propos, les allergiques à la neige et aux grands espaces gelés devront s’abstenir.

Donc l’histoire nous raconte le périple d’un trappeur et de ses acolytes dans le paysage dantesque d’une Amérique au temps où elle pratiquait le génocide des indiens pour s’emparer de leurs territoires et de leurs subsistances. Il y fait froid, il neige, les forêts abritent toutes sortes d’animaux sauvages et des indiens encore plus sauvages.

Un Grizzly énorme, pour défendre ses petits, va s’en prendre à notre Di Caprio et le laisse pour mort. Ses « amis » l’enterrent ( je vous passe les détails) après avoir tué son fils et se carapatent au plus vite pour fuir les méchants indiens. Mais Léo n’est pas mort. Il sort de sa tombe, tout cassé, tout blessé et ne rêve que de venger son fils. Commence alors une interminable chasse qui va durer plus de deux heures et où il va errer dans ce paysage glacé, pouvant à peine se tenir debout, rampant la plupart du temps, souffrant le martyre, mais animé par son idée de vengeance. Il tue des blancs, des indiens, des animaux. (on tue beaucoup dans ce film, normal c’et l’Amérique).

Leonardo Di Caprio est remarquable en homme blessé et vengeur. Le film est à sa gloire, et il s’en sort bien. Son jeu est parfait, on y croit presque, mais c’est tellement invraisemblable que ça gâche un peu notre plaisir. C’est une aventure cinématographique. Il faut donc la prendre comme elle nous est donnée. Près de trois heures de film c’est quand même beaucoup ! C’est mon point de vue, il n’engage que moi.

Allez-y ou pas, c’est vous qui voyez !

Cinéma The Revenant et Ave Cesar
George Clooney
George Clooney

AVE CESAR

avec Monsieur Nespresso pardon George Clooney un film de Coen and Coen

Voici ce que nous en dit le SYNOPSIS

La folle journée d’Eddie Mannix ( Josh Brolin) va nous entraîner dans les coulisses d’un grand studio Hollywoodien. Une époque où la machine à rêves turbinait sans relâche pour régaler indifféremment ses spectateurs de péplums, de comédies musicales, d’adaptations de pièces de théâtre raffinées, de westerns ou encore de ballets nautiques en tous genres. Eddie Mannix est fixer chez Capitole, un des plus célèbres Studios de cinéma américain de l’époque. Il y est chargé de régler tous les problèmes inhérents à chacun de leurs films. Un travail qui ne connaît ni les horaires, ni la routine. En une seule journée il va devoir gérer aussi bien les susceptibilités des différentes communautés religieuses, pour pouvoir valider leur adaptation de la Bible en Technicolor, que celles du très précieux réalisateur vedette Laurence Laurentz qui n’apprécie que modérément qu’on lui ait attribué le jeune espoir du western comme tête d’affiche de son prochain drame psychologique. Il règle à la chaîne le pétrin dans lequel les artistes du studio ont l’art et la manière de se précipiter tous seuls. En plus de sortir une starlette des griffes de la police, ou de sauver la réputation et la carrière de DeeAnna Moran la reine du ballet nautique, Eddie Mannix va devoir élucider les agissements louches du virtuose de claquettes, Burt Gurney. Cerise sur le gâteau, il a maille à partir avec un obscur groupuscule d’activistes politique qui, en plein tournage de la fameuse superproduction biblique AVE CÉSAR lui réclame une rançon pour l’enlèvement de la plus grosse star du Studio, Baird Whitlok. Le tout en essayant de juguler les ardeurs journalistiques des deux jumelles et chroniqueuses ennemies, Thora et Thessaly Thacker. La journée promet d’être mouvementée.

C’est une bonne comédie dont tout l’intérêt est de nous replonger dans les années 1950, époque des grands ballets nautiques avec Esther Williams notamment, des spectacles de claquettes (Fred Astaire ou Ray Bolger ), etc..

Bonne distraction qui ne vous donnera pas la migraine.

Bonne journée

Pour vous distraire allez donc voir ma page réservée à la luxure ( Si vous avez l'humeur cochonne )

http://goo.gl/CNXVAo

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